" Heu... Hum Hum! Bonjour à tous, petits et grands aventuriers du monde des 12. Sachez tout d'abord que si je suis ici, ce n'est pas par hasard... J'admets de bonne grâce m'être égarée quelque peu sur le chemin de la taverne, mais qu'attendre d'autre d'une sadidette, n'est-ce pas? L'essentiel est que j'aie réussi à venir à vous.
Si je suis ici, c'est pour vous parler des charmantes bestioles et des plantes gracieuses typiques de notre belle région... Du bestiaire, pour résumer. Mais je trouve ce mot trop vulgaire pour décrire l'abondante floraison de l'orchidée freyesque en plein mois de Fraouctor, la beauté de la parade nuptiale du poolay au petit matin, et bien d'autres choses encore...
*se passe un mouchoir sur les yeux d'un geste ému*.
Mais trêve de barvadages futiles et entrons plutôt dans le vif (c'est le cas de le dire) du sujet... J'ai décidé de commencer aujourd'hui, amis aventuriers, par un animal qui vous est sans nul doute connu. Et sachez bien que si je ne vous fais pas commencer par le bouftou commun, ou bouftus vulgaris, c'est parce que je vous juge trop savants sur la question... Quoiqu'il pourrait être amusant de vous décrire un aspect de la vie de cet animal, bien sûr... *étouffe un petit rire*
Non, l'animal que j'ai choisi pour vous aujourd'hui est le prespic, cette petite boule d'épingles qui disparaît dès que vous l'approchez... Sortez vos plumes, je commence...
Qui n'a jamais entendu parler du prespic, ce petit animal rond dont la spécialité est l'invisibilité... Sûrement pas vous. L'aventurier moyen s'est sans doute vu un jour ou l'autre entraîner dans un combat sans merci par un de ces petits monstres, car il faut savoir que, si le jeune prespic est un animal facétieux et prompt à jouer, il peut parfois mordre, surtout quand il se lève de la mauvaise patte, et d'autant plus s'il n'a pas déjeuné...
Le prespic, donc, dont le nom scientifique est piquetus vulgaris (et ne m'interrompez pas, vous, au premiez rang !), a une épaisse et abondante fourrure de feu, très douce au toucher, mais uniquement si on la caresse dans le sens du poil... Dans le cas contraire, et il est fortement déconseillé d'essayer de le faire, la fourrure se hérissera telle une pelote d'épingles et le malheureux qui aura tenté cette bêtise se verra cruellement piqué...
Rajoutons, pour vous mettre en garde, que cet animal, bien que très propre, est l'hôte de quelques microbes innofensifs sur la peau humaine, mais qui montrent pleinement leurs capacités sur une plaie suintante, et je n'en ajouterai pas plus pour les esprits sensibles. Il est donc vivement déconseillé d'y toucher... Mais c'est au fil des erreurs que se naît l'expérience. Notre animal est donc bien pourvu par Mère Nature pour pouvoir se défendre en cas de danger... Mais il ne se sert de ses capacités d'attaque que rarement, étant le plus souvent attaqué par des aventuriers sans scrupules ne cherchant qu'à s'approprier sa fourrure, sa crinière, voir même un de ses pics...
A propos de pics, vous vous êtes sans doute demandés d'où ils viennent? C'est bien simple : leurs pattes en sont couvertes. D'aileurs, tout ce qui n'est pas fourrure est pics chez cet animal. Et les jeunes prespics s'amusent souvent à se battre en projetant quelques uns de ces pics vers leurs camarades de jeu... Il faut dire que cet animal est extrêmement développé car, comme les ongles ou les dents de lait, les pics peuvent tomber et se reformer... C'est d'ailleurs pour ceci qu'on trouve une quantité phénoménale de pics près des tanières de nos petites bestioles !
Mais, mais... je vois qu'on me fait signe du fond de la salle...
*Se fraye un chemin parmi les étudiants studieux vers la porte, puis revient vers le centre de la salle.*
Ah ! On m'annonce que mon temps est écoulé, ce sera donc tout pour aujourd'hui ! Et n'hésitez pas à venir poser des questions surtout, j'adore ça ! Travaillez bien et... gare aux piques ! Hihihihi...
Le prespic, donc, dont le nom scientifique est piquetus vulgaris (et ne m'interrompez pas, vous, au premiez rang !), a une épaisse et abondante fourrure de feu, très douce au toucher, mais uniquement si on la caresse dans le sens du poil... Dans le cas contraire, et il est fortement déconseillé d'essayer de le faire, la fourrure se hérissera telle une pelote d'épingles et le malheureux qui aura tenté cette bêtise se verra cruellement piqué...
Rajoutons, pour vous mettre en garde, que cet animal, bien que très propre, est l'hôte de quelques microbes innofensifs sur la peau humaine, mais qui montrent pleinement leurs capacités sur une plaie suintante, et je n'en ajouterai pas plus pour les esprits sensibles. Il est donc vivement déconseillé d'y toucher... Mais c'est au fil des erreurs que se naît l'expérience. Notre animal est donc bien pourvu par Mère Nature pour pouvoir se défendre en cas de danger... Mais il ne se sert de ses capacités d'attaque que rarement, étant le plus souvent attaqué par des aventuriers sans scrupules ne cherchant qu'à s'approprier sa fourrure, sa crinière, voir même un de ses pics...
A propos de pics, vous vous êtes sans doute demandés d'où ils viennent? C'est bien simple : leurs pattes en sont couvertes. D'aileurs, tout ce qui n'est pas fourrure est pics chez cet animal. Et les jeunes prespics s'amusent souvent à se battre en projetant quelques uns de ces pics vers leurs camarades de jeu... Il faut dire que cet animal est extrêmement développé car, comme les ongles ou les dents de lait, les pics peuvent tomber et se reformer... C'est d'ailleurs pour ceci qu'on trouve une quantité phénoménale de pics près des tanières de nos petites bestioles !
Mais, mais... je vois qu'on me fait signe du fond de la salle...
*Se fraye un chemin parmi les étudiants studieux vers la porte, puis revient vers le centre de la salle.*
Ah ! On m'annonce que mon temps est écoulé, ce sera donc tout pour aujourd'hui ! Et n'hésitez pas à venir poser des questions surtout, j'adore ça ! Travaillez bien et... gare aux piques ! Hihihihi...
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